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Maledixon

by Marc Dixon

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1.
2.
Cellofan 04:43
3.
A Genoux 05:05
4.
Fever 03:57
5.
Dixon Jive 04:41
6.
Fool 03:42
7.
Seul 04:04
8.
Gardien 02:48
9.
10.
11.

about

Eighteen years since we last heard Marc Dixon’s deep voice echoing his electric wandering stories in the Belgium nights. After about a hundred concerts with the Junkies, the Menteurs and a few singles produced by Mirwais (Taxi Girl, Madonna) in the 80’s, he is back today with MALEDIXON, more of a rebirth album than a coming back, built step by step with his accomplice Lele (Pierre Lebecque) and the six strings of French guitarist Goulven Hamel (Santa Cruz, Bruno Green, Philippe Pascal, Blue Train Choir…). Marc Dixon lets his bilingual story-telling drifting with the sound of abrasive guitars on rough digital foundations questioning about solitude, love and sex in search of an improbable Zen balance. The tense rhythmic, the accepted urge and sensuality slide here on the skin like a blunt caress to invent the Dixon Jive, an odd dance for the night and beat up souls.
Preferring the “fever” than a “sub cellophane” life, Marc Dixon has deliberately chosen to arouse his old devils. Looking them in the eyes, he resuscitates them to subdue them with an evident pleasure and a blessed distance.

Nourished on the creative fury of Punk and the instinctive freedom of Rock ‘N Roll (in 1977 he started one of the first punk fanzines: Teenage Head), he bumped into a black and white picture of Otto Preminger in 1979 and reinvented himself as Marc Dixon to take hold the thread of his artistic tale. After a long ride trough the effervescence of independent radios, he entered the young channel Canal+ in Belgium as a musical consultant before creating the musical broadcast Fast Forward. Those weekly 26 minutes will mark durably the audiovisual landscape, while Marc is co-founding Karma Production, realising and producing a series of documentaries (Arno, Comme Les Hommes; Susana baca, Memoria Viva; Stephan Eicher, Taxi Europa…), live captures (Iggy Pop Live at Avenue B, Massive Attack, Faithless, Placebo, Girls in Hawaii, Ghinzu…) or music videos (Sharko, My Little Cheap Dictaphone, Jeronimo, Marie Warnant…). Also a photographer, this man of image immersed in music has found again his first love to write his own ideal sound track to his electric and harmful roving and thus share with us the complexity and richness of his world.

***

Dix-huit années que Marc Dixon n’avait plus fait résonner sa voix grave et ses histoires d’errance électrique dans les nuits Belges. Après une centaine de concerts avec ses Junkies puis ses Menteurs et quelques singles produits par Mirwais (Taxi Girl, Madonna) dans les années 80, il revient aujourd’hui avec MALEDIXON, album de renaissance plutôt que de retour, construit en étapes avec son complice Lele (Pierre Lebecque) et les six cordes du français Goulven Hamel (Santa Cruz, Bruno Green, Philippe Pascal Blue Train Choir…). Sur de rugueuses fondations numériques, Marc Dixon laisse dériver au fil de guitares abrasives un story-telling bilingue (anglais, français) qui questionne la solitude, l’amour et le sexe à la recherche d’un improbable équilibre zen. Les rythmiques tendues, l’urgence et la sensualité assumée glissent ici sur la peau comme une caresse brutale pour inventer le Dixon Jive, cette étrange danse des âmes nocturnes et cabossées. Préférant la fièvre à une vie cellophanée, Marc Dixon a délibérément choisi d’exciter ses vieux démons. Les yeux dans les yeux, il les exhortent pour mieux les dompter avec un plaisir évident et une distance salvatrice…

Nourri à la furie créatrice du punk et à la liberté instinctive du rock’n roll (il a fondé en janv 77 l’un des premiers fanzines punk Teenage head), il bute en 1979 contre une image noir et blanc d’Otto Preminger et se réinvente en Marc Dixon pour prendre en main le fil de son histoire artistique. Après un long passage dans le bouillonnement des radios libres, il intègre la jeune chaîne Canal + Belgique comme consultant musical, avant de créer l’émission musicale Fast Forward. Ces 26 minutes hebdomadaires marqueront durablement le paysage audiovisuel, alors que Marc co-fonde Karma-production et produit et réalise une série de documentaires (« Arno, Comme Les Hommes », « Susana Baca : Memoria Viva », Stephan Eicher : Taxi Europa…), de captations live (« Iggy Pop live at Avenue B », Massive Attack, Faithless, Placebo, Girls in Hawaii, Ghinzu…) ou de clips vidéo (Sharko, My Little Cheap Dictaphone, Jeronimo, Marie Warnant…). Également photographe, cet homme d’image imprégné de musique a retrouvé ses premiers amours pour écrire lui-même la bande son idéal à ses errances électriques et délétères. Et nous faire enfin partager en musique la richesse et la complexité de son univers.

PRESS
« A mix of deep vocals with Gretsch guitars and subtles machine beats and bass. Terrific lyrics ! »
Cdbaby

« Marc Dixon est de retour avec cette MaléDixon qui est belle et bien une BénéDixon rock & rollienne. La voix de Dixon comme les bons vins avec l’âge a pris du corps et beaucoup de teintes dans les graves … et cette voix nous emporte dans son univers tantôt en français tantôt en anglais. »

« …A 48 ans Dixon sort son premier album chanté alternativment en anglais-français où il laisse éclater son goût des guitares distordues (très Iggy Pop), sa voix grave et son accent frenchy. La version belge du beautiful loser. » Sud Press

« …Ce serait un sacrilège si je ne parlais pas du guitariste Goulven Hamel (qui possède un style à la fois classique blues-rock américain et alternatif) sa guitare est omniprésente comme si elle cherchait sans cesse le duel avec la voix de Marc. Si vous aimez le rock & roll, si vous aimez les voix graves et profondes, si vous aimez la poésie… je suis sûr que vous aimerez MaléDixon. »

« …Il revient avec un album sombre et ironique où il chuchote nonchalemment ses textes désabusés. Dissonantes et abrassives, le chansons sont dominiées par une guitare déglinguée et héroïque. » BD in Télémoustique

« (…) Bien évidemment, l’humour (parfois assez coquin) de Marc Dixon accroche durant les morceaux chantés dans la langue de Molière: "A genoux devant moi tu pries Alléluia, à genoux par derrière c’est comme ça que tu préfères" ("A Genoux") ou "Et tu balances devant ton petit derrière, tu fais des petits mouvements d’avant en arrière, oh approche et viens contre moi, il n’y a qu’une façon de faire le Dixon Jive" ("Dixon Jive", genre d’hymne narcissique chanté à la manière de Gainsbourg fin des années 60, genre "Ford Mustang" mais sur un rythme nettement plus soutenu).

Epinglons également une excellente reprise du standard de Peggy Lee ("Fever"), qui surpasse de loin les imitations de ces dernières années, celle de Madonna en tête, ainsi que "Seul" aux paroles récitées sur un fond sonore lugubre. Au final, Marc Dixon a sorti un album à son image qui, à l’instar de sa carrière, mérite qu’on s’y attarde, déjà rien que pour le titre…
» Olivier Wouter in MusicinBelgium.net

« Maledixon » tente, d’entrée de jeu, de nous emmener dans l’univers particulier de son auteur, un univers plutôt obscur mais déterminé à se rendre avant tout sensuel et poétique.

« …‘Maledixon’ est très susceptible de toucher un certain public… Férus de voyages de nuit, de riffs tendus aux sons chauds ou d’autoroutes pluvieuses, il trouvera sans doute ici un album de chevet honorable et un compagnon de route honnête. » Fabian Dacci in Musiczine.net

« … Fever flingue les âmes crépusculaire d’une bien belle façon » Rif Raf

« De l’excellent rock, qui ne dénote pas face à ses références pointues. » Rocknfrance.com

« Du dark alternative/underground rock, chanté d'une voix grave, narrative et souligné de riffs de guitare hypnotisants. Sa version cadavérique de 'Fever', rythmée par nos fingersnappings, est du grand art. Concerts-review.over-blog.com

credits

released April 15, 2009

produced by Lele & Marc Dixon
mixed by Erik Orthuon
Mastering by Bruno Green

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